Les animaux fantastiques : les crimes de Grindelwald de David Yates
1927. Quelques mois après sa capture, Grindelwald s'évade.
Réunissant de plus en plus de partisans, il est à l'origine d'attaque
de moldus et seul Dumbledore semble capable de l'arrêter.
Mais ce dernier fait appel au seul sorcier ayant déjoué les
plans de Grindelwald auparavant : son ancien élève Norbert Dragonneau.
Le retour du lunaire et introverti Newt Scamander ! Cette fois entre un Londres pluvieux et un Paris art déco superbe. On explore avec délice l'univers magique, marqué par un foisonnement d'effets spéciaux réussis, ses ministères majestueux, ses animaux bizarres et sublimes (le Zouwu, Pickett le botruc, les adorables niffleurs, le majestueux kelpy mordeur...), ses seigneurs des ténèbres, ses sorciers et ses moldus, dont le très attachant Jacob (Dan Fogler). C'est le pied ! Oui l'intrigue s'avère un peu trop embrouillée, oui certains personnages -trop nombreux- ont des réactions qui semblent trop versatiles parce que l'auteur ne prend pas le temps de les développer -ou plutôt n'a pas le temps. cependant, je n'arrive pas à en vouloir à J.K Rowling car son univers m'emporte toujours autant. Le quatuor initial fait toujours aussi bien l'affaire, notamment Eddie Redmayne et Alison Sudol qui émeut en montrant une Queenie en plein désarroi. Zoë Kravitz et Callum Turner campent un couple mystérieux et intrigant. Ezra Miller et Claudia Kim jouent efficacement les outsiders. Je suis moyennement convaincue par Johnny Depp, certes glaçant qui ne parvient pas à se faire oublier derrière le personnage. En revanche, Jude Law campe un Dumbledore intéressant et toujours aussi ambivalent que sa version plus âgée. A l'image du monde décrit : le ciel s'assombrit et bientôt la violence se déchaînera complètement. J'espère que l'opus suivant donnera les réponses aux questions que pose celui-ci.
Le retour du lunaire et introverti Newt Scamander ! Cette fois entre un Londres pluvieux et un Paris art déco superbe. On explore avec délice l'univers magique, marqué par un foisonnement d'effets spéciaux réussis, ses ministères majestueux, ses animaux bizarres et sublimes (le Zouwu, Pickett le botruc, les adorables niffleurs, le majestueux kelpy mordeur...), ses seigneurs des ténèbres, ses sorciers et ses moldus, dont le très attachant Jacob (Dan Fogler). C'est le pied ! Oui l'intrigue s'avère un peu trop embrouillée, oui certains personnages -trop nombreux- ont des réactions qui semblent trop versatiles parce que l'auteur ne prend pas le temps de les développer -ou plutôt n'a pas le temps. cependant, je n'arrive pas à en vouloir à J.K Rowling car son univers m'emporte toujours autant. Le quatuor initial fait toujours aussi bien l'affaire, notamment Eddie Redmayne et Alison Sudol qui émeut en montrant une Queenie en plein désarroi. Zoë Kravitz et Callum Turner campent un couple mystérieux et intrigant. Ezra Miller et Claudia Kim jouent efficacement les outsiders. Je suis moyennement convaincue par Johnny Depp, certes glaçant qui ne parvient pas à se faire oublier derrière le personnage. En revanche, Jude Law campe un Dumbledore intéressant et toujours aussi ambivalent que sa version plus âgée. A l'image du monde décrit : le ciel s'assombrit et bientôt la violence se déchaînera complètement. J'espère que l'opus suivant donnera les réponses aux questions que pose celui-ci.
8,5/10
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